• Bonsoir, chers amis.

     

    Ce soir, un nouveau texte, sur un sujet qui me préoccupe, qui me touche, et qui touche d'ailleurs peut être certains d'entre vous : pourquoi laisse-t-on volontairement mourir certaines villes, certaines régions entières ? Pourquoi les fait-on devenir des réserves à cas sociaux, crasseux, alcooliques et toxicomanes ?

     

    Prenons l'exemple de Vierzon, si vous le voulez bien. A la fin de la Seconde Guerre Mondiale, c'était une ville florissante, le plein emploi était là, notamment par le biais de l'usine CASE, construisant divers engins de chantier. Mais cette usine a fermé, suivie par d'autres, et la ville a commencé à... mourir, je n'ai pas d'autre mot. Témoin cette série d'articles dans Libération, où les agents immobiliers notamment disent que « des cars entiers » de bénéficiaires d'aides sociales, avaient atterri dans leur ville, année après année, le scénario se répétait. Au détriment de ceux qui voulaient travailler, maintenir une activité commerciale dans les vieilles rues, bref, faire bouger la ville. Eh bien non, il fallait de l'immobilisme, de l'assistanat, de la crasse. Un autre exemple ?

     

    Clamecy, alors. Sous-préfecture de la Nièvre, « terre d'expérimentations » des élus socialistes s'il en est. Même scénario que pour Vierzon, le tout chapeauté par une équipe municipale réélue de mandat en mandat depuis plus de 30 ans, avec à chaque fois, « quelques voix » d'écart... Bizarrement, pas grand-monde ne s'élève contre cet état de fait, qui là bas, fait office de norme sociale. C'est ainsi qu'un campement de gens du voyage posant problème n'a été que « déplacé », et que des tranchées ont été creusées aux abords de nombreux espaces verts pour empêcher ces sympathiques personnes d'envahir les pelouses avec leurs magnifiques caravanes (payées grâce au RSA, tout le monde le sait !) Avec les nuisances qui leur sont coutume (dépôt de déchets, petite délinquance, nuisances sonores...), la vie est devenue un calvaire pour les habitants de certains quartiers... Mais bon, « tout va bien à Clamecy ». Vous en doutez encore ? Et pourtant, ce n'est que la vérité, je l'ai constaté par moi-même, et le Jay opine du chef, il est de la région. Encore ?

     

    Parlons donc de... Guéret (eh oui !), 14000 habitants, préfecture de la Creuse. Là, c'est différent : les campagnes, puis la ville, se sont vidées peu à peu de leurs habitants du fait de l'exode rural, et le département ne compte qu'une poignée de moyennes entreprises. Ici, beaucoup de choses dépendent encore de l'agriculture, ou de l'artisanat. Ajoutons à cela des emplois administratifs, et le tableau est complet. Là aussi, la pauvreté sociale et intellectuelle paraît « normale », si bien qu'il est très facile d'attraper la gale, ou autres maladies dues à la crasse... Un comble, en 2014, vous ne trouvez pas ? D'ailleurs, votre serviteur a attrapé une pneumopathie, vraisemblablement par le contact prolongé avec les crasseux précités, dans un centre de formation. Est-il normal aujourd'hui, que certaines personnes croisées dans la rue portent les mêmes vêtements... voire sous-vêtements, depuis un an ?

     

    Je tiens à préciser ici que je vis, ou plutôt je survis, grâce à l'AAH, Allocation Adulte Handicapé, suite à ma maladie qui m'empêche de retravailler en tant que chauffeur routier. J'ai un toit au dessus de la tête, de quoi changer de vêtements tous les jours, de quoi me laver à la même fréquence, et que je ne rechigne pas à aller chez le médecin pour quelque chose que mon pharmacien préféré ne peut aider à soigner. De même, j'ai largement cotisé par le passé, donc je ne rentre pas DU TOUT dans la définition précitée du « cas social ». Il vous en faut encore, vous qui douteriez de ma bonne foi ? Franchement, si je pouvais retravailler en tant que chauffeur PL, je le ferai de bon cœur.

     

    Bizarrement, ce sont souvent des villes du centre de la France, ou en tout cas étant situées sur « la diagonale du vide », qui sont victimes de ce pourrissement... Qu'attendent les politiques de tout bord pour provoquer un sursaut de dynamisme, des investissements massifs dans l'industrie locale, une rénovation en profondeur des réseaux routier et ferroviaire, bref, remettre la machine en route ? Non pas que je croie en la théorie du complot, mais bizarrement, ce sont toujours les cas sociaux dont j'ai parlé, les premiers pour râler, ou voter FN une fois dans l'isoloir... Alors, ce serait pour porter ce parti au pouvoir ? Un plan énorme de décrépitude des territoires ruraux, depuis quatre décennies ? Je n'arrive pas à le croire. Et vous ?

     

    Bonne soirée, chers lecteurs et amis.

     

    - Antonin "Troll".

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  • Bonjour, chers lecteurs et amis. Voici mon nouveau projet qui, j'espère, se réalisera dans la décennie à venir. Il s'agit pour moi de quitter définitivement la ville, de tourner le dos au mode de vie urbain. Et ce pour plusieurs raisons, facilement compréhensibles :

     

    => Épuisement programmé des ressources naturelles, en premier le pétrole et le charbon, donc « retour à l'âge de pierre » et bouleversement de la société telle qu'on la connaît ;

     

    => Nuisances urbaines, à savoir pollution, bruit, incivilités diverses et variées, personnes peu recommandables ;

     

    => En ville, culte de l'apparence, de l'individualisme, de la possession... là où la campagne permet au contraire une convergence des alternatives locales, la simplicité sans le jugement, et la concrétisation d'un projet différent ;

     

    => Possibilité de cultiver ses légumes et d'élever des animaux à la campagne, de satisfaire ses besoins primaires, là où l'habitat urbain impose d'aller s'approvisionner au supermarché et d'acheter le superflu plutôt que l'essentiel...

     

    => Prise de conscience personnelle.

     

    Comme vous l'aurez remarqué, le nom du projet est en Anglais, il est en fait le titre d'une chanson de Woods of Desolation. Pourquoi ce nom ? Parce que je veux franchir une certaine limite imposée par la société bien-pensante et abrutie de télé-crasse. Donc, « pass », pour « franchir, dépasser ». Le mot « Kingdom » désignant, vous l'aurez compris, la société de consommation et de crédits.

     

    LES BASES :

     

    Il s'agit donc d'abandonner pour de bon la vie en ville. Car elle sera rendue impossible par l'effondrement social et économique à prévoir dans les 50 années qui viennent, à cause notamment de la disparition programmée des énergies fossiles. De même, dans une telle situation, il sera nettement préférable d'habiter la campagne, pour être à l'écart de possibles violences urbaines ou émeutes de la faim...

     

    Projet : Pass the Kingdom.

     

    Quand on prend conscience du défouloir qu'est devenu Internet (et plus particulièrement les réseaux sociaux et forums), on espère que les gens ne sont pas tous comme quelques malfaisants virtuels... Et qu'ils n'en viendront pas à tuer un innocent pour quelques litres d'essence ou pour un sachet de riz. Mais je me pose tout de même des questions... Et disons que ce texte, ce projet, est venu d'une réflexion avec Emi, une très bonne amie dont j'ai déjà parlé sur Dernier Bastion.

     

    Cela se déroulera en trois phases.

     

    PHASE I :

     

    Partant de cela, je programme pour 2020 l'achat d'un petit terrain à la campagne, à l'écart des zones urbanisées, que ce soit aux alentours du Mans, de Laval ou de Quimper (trois villes où je pourrai rester travail aidant.) Sur ce terrain, je ferai couler une dalle béton, de 20 mètres carrés. Et sur cette dalle, je ferai fixer et monter un chalet, d'une surface habitable de 28m²... Pour y vivre, tout simplement, comme un Troll. C'est à dire, comme je l'ai toujours voulu.

     

    Projet : Pass the Kingdom.

     

    Je pense en tout cas que cela est plus cohérent et valable (écologiquement, socialement, financièrement) en nos temps troublés, plutôt qu'un pavillon immonde à crédits sur 50 ans et un monospace diesel... Surtout pour un célibataire endurci comme moi. Qui plus est, vu mon ancienne pathologie, aucune banque n'acceptera de me prêter une telle somme pour "accéder à la propriété". J'en suis parfaitement conscient, et ce n'est pas grave si la "société" n'en a pas conscience...

     

    Il est clair que je continuerai à m'informer, à discuter avec mes différents contacts un peu partout en France et à l'étranger, pour tenter de savoir quand arrivera le grand moment... Cependant, je n'ai pas l'intention d'investir dans une télévision ! Donc, j'écouterai la radio, et je lirai la presse sur Internet, exactement comme je fais actuellement.

     

    Projet : Pass the Kingdom.

     

    PHASE II

     

    Puis je commencerai à cultiver un potager, éventuellement un ou plusieurs arbres fruitiers, quelques plantes médicinales de première nécessité... Ajoutons à cela des poules, un coq, deux ou trois chèvres (qui, non contentes de servir de tondeuse à gazon écolo, fourniront un lait apprécié), et je ferai en sorte de perfectionner mon autonomie naissante. Par le simple fait de ne plus aller faire les courses au supermarché, mais bel et bien au marché local, ou bien dans les fermes bio locales... Un marché « paysan » sera apprécié.

     

    Projet : Pass the Kingdom.

     

    Projet : Pass the Kingdom.

     

    Enfin, j'inviterai mes meilleurs amis (à savoir le Jay, Emi, Aurélie et son compagnon) à me rejoindre, si ils le veulent évidemment. Pour la bonne raison que l'on pourra se serrer les coudes en cas de coup dur... et l'amitié rassure l'esprit. Ils pourront résider dans une yourte, un autre chalet ou une roulotte (et dans leur véhicule d'habitation pour Aurélie et son compagnon).

     

    Pour la suite... Je compte donc continuer à travailler en tant qu'ouvrier en logistique, pour assurer ma subsistance. Et, le jour venu, je remiserai ma voiture faute de carburant, et ne compterai que sur mes rangers pour trouver de quoi manger.

     

    Projet : Pass the Kingdom.

     

    PHASE III :

     

    Une fois les événements résorbés, nous aviserons de la situation, pour savoir si l'on peut se permettre de vivre comme auparavant, ou non. J'ose espérer que les gens seront alors moins abrutis qu'actuellement, et auront appris à se débrouiller autrement. On peut toujours rêver, mais on ne sait jamais ! D'ici là, des monnaies locales et des SEL (Système d’Échange Local, troc) auront peut être pris forme, pour que l'on puisse se passer de monnaie classique (les Euros ne vaudront plus grand chose, en cas d'effondrement économique...)

     

    Projet : Pass the Kingdom.

     

    NOTE PERSONNELLE :

     

    Ce projet n'a rien de « survivaliste », « extrémiste », ou « totalitaire ». Je tiens à le préciser, pour ne pas être taxé d'un de ces trois termes. C'est juste mon projet de vie, pour l'avenir... sans penser à mal. J'y réfléchis depuis des années, je n'accepterai pas qu'il soit remis en cause par la bêtise de certains...

     

    Bonne soirée et bonne semaine à vous tous.

     

    Troll.

     

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  • Ceci est un rêve que j'ai fait il y a quelques semaines, je viens d'en retrouver le souvenir précis.

     

    […]

     

    Quelque part en Limousin, en plein hiver. Je profite d'une après midi de libre pour aller faire un tour en forêt, espérant trouver un mégalithe où m'adresser aux Dieux. Après avoir consulté la carte locale, j'en repère un, au nom évocateur de légendes oubliées... En voiture. Après vingt minutes d'un trajet sans histoire, je suis sur place.

     

    Forêt hivernale... Un rêve païen.

     

    Je viens de laisser ma brave voiture sur un « délaissé », je m'engage maintenant dans la noble forêt. Les arbres, majestueux, m'accueillent sur leur domaine, et mes rangers tracent un chemin glacé dans le silence forestier... Un appel sorti du fond des âges vient soudain de la clairière derrière moi, c'est un groupe de corbeaux qui s'agite. Je les salue volontiers, tout païen que je suis.

     

    Forêt hivernale... Un rêve païen.

     

    Malgré le froid mordant, je me sens bien, en phase avec la Nature. Et prêt pour aller converser avec les Esprits. Un écureuil passe à quelques mètres devant moi, puis grimpe à toute vitesse dans un sapin, comme si sa vie en dépendait. Et pourtant, ce n'est pas le Troll que je suis qui ferait le moindre mal à cette sympathique créature !

     

    La forêt est mon domaine, je m'y sens chez moi. Et je la respecte, je sais rester humble. Je fais en sorte de laisser le moins de traces de mon passage... Mais tout le monde ne m'imite pas, c'est ainsi que je peux repérer quelques déchets de la civilisation, toute proche, à peine recouverts par les feuilles mortes. Quel gâchis... Un si bel endroit. L'homme fait parfois preuve d'un irrespect dépassant l'entendement.

     

    Sur ces considérations écologistes, j'entame la sente montant jusqu'au cromlech. Non sans difficultés, je manque même de me tordre la cheville, malgré mes bottes. Il faut toujours faire attention où l'on marche... C'est enfin la clairière, dite « des Fades ». Le cromlech, ensemble rocheux datant des Celtes, est toujours là, malgré les millénaires qui s'accumulent sur ses épaules de granit. Je commence alors ma prière, silencieuse, pour ne pas troubler le calme des lieux.

     

    Forêt hivernale... Un rêve païen.

     

    Ce faisant, je ressens une vibration lithique, montant de la Terre. Un signe que les Esprits des lieux ont remarqué la présence d'un fidèle sur leur domaine... Je les remercie de cette douce, mais puissante sensation. Immobile et silencieux, je perçois une présence. Pas humaine, mais animale... Je me retourne, et vois un cerf en train de se nourrir. Toujours dans un silence absolu, j'adresse une recommandation à Freyr, pour que cet animal noble et si beau ne finisse pas sous les balles des chasseurs...

     

    Puis, voyant le jour se finir lentement, je décide de rentrer. Retrouvant sans peine mon chemin, j'arrive à ma voiture. C'est à ce moment là que mon rêve prend fin...

     

    Au plaisir de vous lire.

     

    Troll

     

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  • Bonsoir, chers lecteurs et amis ! Ce soir, un petit texte que j'avais envie de rédiger depuis un bon moment déjà : sur l'apparence dans le milieu Metal.

     

    Surtout sur la coupe de cheveux en fait... Ce n'est pas vraiment la coupe de cheveux qui fait le « bon » ou le « mauvais » metalleux... contrairement à ce que certains pensent. Pour plusieurs raisons.

     

    => Déjà, certains metalleux sont obligés de porter les cheveux courts, pour des raisons de sécurité, d'hygiène, de tenue, par rapport à leur activité professionnelle... Difficile de justifier des cheveux descendant jusqu'au milieu du dos pour un tourneur-fraiseur, ou une crête punk pour un vigile !

     

    => Ensuite, certains metalleux, et ça se vérifie de plus en plus, ne souhaitent pas porter les cheveux longs, parce que cela ne leur va pas. J'en fais partie, étant donné que mes cheveux ont tendance à friser, et que cela ne va pas avec mon physique ! Je préfère donc aller chez le coiffeur tous les mois, un coup de tondeuse sans sabot et c'est réglé !

     

    => Enfin, avoir les cheveux courts dans le milieu Metal n'est pas une tare. D'ailleurs, Rob Halford, le chanteur de Judas Priest, est chauve, tout comme un des membres de Manegarm... Et Bruce Dickinson a les cheveux courts depuis des années ! Comme quoi, cela n'ôte rien à leur talent et à leurs succès respectifs.

     

    Certes, le Metal s'inspire pas mal des Vikings ou des Celtes, et pour ces deux peuples, la longueur des cheveux pour les hommes était signe de puissance et de virilité. Et quand bien même, aux débuts du Metal, la plupart des fans et des musiciens avaient les cheveux longs, la culture évolue, les codes aussi !

     

    =======================

     

    Deuxième point, la tenue vestimentaire. Je connais des personnes qui écoutent du Metal, qui achètent des disques, et qui choisissent d'avoir un look « passe-partout » en permanence. Je les considère comme des metalleux à part entière, car ils soutiennent la scène par l'achat de CD ou vinyles ! A contrario, on peut rencontrer des jeunes de 16 ans, voire moins, possédant tout l'attirail du metalleux dans sa splendeur (tenue entièrement noire, chaînes, piercings, pendentifs en étain, mitaines...) et n'ayant chez eux que deux CD de Metal, perdus parmi des dizaines de CD variant de la pop au hard rock. L'habit ne fait pas le moine...

     

    J'assume entièrement le fait de sortir de ma tanière habillé de la façon suivante : sweat shirt ou tee shirt Metal, béret, treillis camouflage, rangers, et bien souvent un pendentif Viking. Et alors ? Quant à celui ou celle qui contesterait ma sincérité (ou me traiterait de « poseur »), je lui montrerai ma collection de CD, comprenant quelques raretés... Et je l'inviterai à me montrer la sienne ! Peut être aurais-je ainsi une surprise... Quoique, cela ne s'est encore jamais produit.

     

    D'autres que moi ne sortent en tenue que pour les concerts ou festivals... Peut être ont-ils eu des ennuis par rapport à leur tenue, c'est tout à fait possible dans certaines villes, dans certains quartiers... et c'est sans doute à cause de l'ignorance crasse dont font preuve certaines personnes étrangères au Metal. Enfin, passons...

     

    Le milieu Metal a des casseroles au cul, je vous rassure ! L'expérience le prouve, on est mieux accueilli habillé en metalleux dans un festival de trance psychédélique, qu'habillé en teuffeur dans un concert metal. La faute, peut être, à l'élitisme de certains ? Je ne sais pas. C'est à mon avis un sujet à creuser !

     

    Voilà, je crois que j'ai tout dit ! A bientôt, chers lecteurs et amis, gardez la foi du Metal !

     

    Troll

     

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  • Bonsoir, chers lecteurs et amis.

     

    Ce soir encore, et pour votre plus grand plaisir, une envolée tout à fait trollesque, sur un thème qui me préoccupe, voire m'énerve... bien que le phénomène se soit quelque peu estompé après la défaite de... qui vous savez, aux dernières présidentielles. Je veux ici parler d'une certaine manière de parler des journalistes, qui s'est retrouvée dans le langage courant. Le fait de dire, lorsqu'il y a une grève, une manifestation, un conflit social en général, que certaines personnes sont « prises en otage ».

     

    Eh bien, je trouve ça honteux. Pourquoi ? Parce qu'à mon sens, être pris en otage, c'est être à genoux, pieds et poings liés, avec le canon d'une arme à feu braqué sur la tempe... et un fou furieux à l'autre bout. Point.

     

    Mais hélas, dans notre France en proie au populisme et au néo-poujadisme, ce terme semble avoir trouvé toute sa place... si bien que les journalistes en rajoutent, l'utilisent comme ils veulent, sans que personne ne s'élève contre ça. Et ça me fait râler... C'est, vous vous en doutez, une des raisons pour lesquelles je ne regarde plus la télé depuis plus de deux ans. J'ai dû également apprendre à ne plus fréquenter certains sites de journaux en ligne... pour la même raison. Évidemment, je ne citerai pas de nom, ne pouvant assumer un procès en diffamation ! Mais vous connaissez déjà les noms de ces torches-cul... Bien sûr, ce sont des journaux à grand tirage, très bien pour allumer le feu, donc ! Coluche le disait si bien.

     

    Ce n'est évidemment qu'un exemple, parmi tant d'autres, du mensonge et de la déformation des réalités offerts (je devrais dire « vendus ») par la presse grand public. J'ai parfois l'impression, et vous le confirmerez ou non, que la presse et les médias ne font qu'accompagner les politiques dans leur carrière, que les informations que l'on veut bien nous donner ont pour but d'en dire le minimum, et surtout, de représenter la partialité à son comble... Ce qui ne devrait même pas exister. Une presse vraiment libre et indépendante du pouvoir en place est nécessaire, pour laisser le libre choix à celles et ceux qui ne veulent plus lire des déballages de sentiments inutiles.

     

    Néanmoins, j'en profite pour vous dire que tous les sites et médias se prétendant « alternatifs », ne sont pas bons à prendre... Méfiez-vous par exemple, chers lecteurs, de tous les sites plus ou moins folkloriques de « réinformation » et de « vérité différente » : ce sont bien souvent des officines douteuses, que ce soit les conspirationnistes ou les sites ouvertement « rouge-brun »... mélangeant allègrement actualité sociale et thèses racialistes ou identitaires. Prudence, donc ! Et si vous doutez un tant soit peu d'un tel site, essayez donc d'accoler le terme « extrême droite » à son nom, lors d'une recherche à l'aide de Google, par exemple. Vous pourriez avoir une bien mauvaise surprise !

     

    Je crois que j'ai tout dit. Surtout, si vous avez des commentaires, des questions, des réclamations à formuler, n'hésitez pas à utiliser le formulaire de contact !

     

    A bientôt.

     

    - Antonin "Troll".

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  • Bonsoir, chers lecteurs et amis !

     

    Ca y est, je m'y retrouve enfin, spirituellement parlant. Je crois en effet avoir pris la bonne décision concernant mes croyances : dès maintenant, je ferai en sorte d'être un Asatrùar (croyant en les Ases) heureux, et comblé. Je laisse donc de côté, et définitivement, la Wicca, pour la simple et bonne raison que, vu mon passif psychique, je ne peux me permettre de la pratiquer sereinement. Mais, je ne compte pas pour autant revendre ou donner les livres que j'ai acquis patiemment sur le sujet, ni mes livres sur les vampires, les loups-garous, la démonologie ou autres thèmes fort intéressants !

     

    Pour tout vous dire, je viens de retrouver parmi des affaires que je n'avais pas déballé, ce livre : l'Edda, de Snorri Sturluson. La base pour toute personne s'intéressant à la foi des Scandinaves.

     

    Asatrù : le choix de la raison.

     

    Un jour peut être, je rejoindrai une association païenne nordisante, pour me sentir moins seul... Mais ce jour n'est pas encore arrivé, à défaut de structure existante. Et quand bien même, on me répondrait « Mais si, il en existe une ! », je saurais de quoi il est question. Et je n'ai pas envie. Non, je n'ai pas envie de rejoindre une structure volontairement rétrograde, identitaire, au fonctionnement autocratique et acceptant des propos inqualifiables contre les personnes qui n'ont pas la même couleur de peau, ou la même orientation sexuelle qu'eux. Jamais. Par Thor, je m'y refuse.

     

    J'ai profité de cette période de « brainstorming » spirituel pour actualiser quelque peu mes accessoires, notamment mes bijoux. En me promenant dans Guéret, j'avais repéré une petite boutique, vendant surtout des bijoux fantaisie. J'y suis donc retourné, dans le but de trouver un ou plusieurs accessoires païens ou ésotériques. Et je n'ai pas été déçu... Mes dernières acquisitions :

     

    Le Valknut, ensemble de trois triangles symbolisant soit la mort, soit le triptyque passé – présent – avenir. Un pendentif tout à fait sympathique, en acier inoxydable...

     

    Asatrù : le choix de la raison.

     

    Et la bague ornée du Marteau de Thor, symbole de base de la mythologie scandinave. Je rappelle ici que Thor, dieu du Tonnerre, est le fils d'Odin (Allfadr, soit le Père de Tout).

     

     

    Asatrù : le choix de la raison.

     

    Et j'en remets une couche : ces deux symboles religieux (et tant d'autres) n'ont rien à voir avec l'extrême droite, les identitaires, et tous ceux qui ont « une crampe au bras droit ». Un païen moderne se doit au contraire d'aller vers l'autre, de l'accueillir, et de le respecter. Et non de se replier sur lui-même.

     

    Bonne fin de semaine à toutes et à tous, que Freya veille sur vous.

     

    Troll

     

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